A
la suite de la chute de la dynastie Tang, la Chine connait une période
d’instabilité, les échanges avec le Japon sont interrompus et pendant deux
siècles, le thé disparait du Japon.
Au XIIe siècle, le moine japonais Eisai
part étudier le bouddhisme en Chine. Il y réside 24 ans sous la direction de
maître chan. A son retour, il
réintroduit le thé et développe les théories chan. Il est considéré comme créateur de la cérémonie cha no yu. Une cérémonie donc très empreinte du bouddhisme zen (zen étant
la prononciation japonaise de chan).
Mais c'est sans doute Sen No Rikyu, au XVIe siècle, qui marque le plus de son empreinte cette cérémonie en la codifiant jusque dans le moindre détail.
Le 14 décembre 2013, nous avons pu assisté à un extrait d'une des cérémonies du thé japonaises, au marché de St-Médard-en-Jalles, grâce à l'importateur de thé japonais UMAMI (qui depuis a malheureusement cessé son activité). Souvenirs :
Le 14 décembre 2013, nous avons pu assisté à un extrait d'une des cérémonies du thé japonaises, au marché de St-Médard-en-Jalles, grâce à l'importateur de thé japonais UMAMI (qui depuis a malheureusement cessé son activité). Souvenirs :
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